Mes personnages se situent au sein de récits monoscéniques qui capturent l’essence d’un instant vécu par eux, avec ce qui caractérise leur univers typique architectural. Le lien ici est celui du corps comme maison primordiale et de la maison comme premier corps social.








On pourrait parler d’une forme épurée de nouvelle figuration car il s’agit pour moi d’affirmer une expression subjective, un mouvement corporel, une posture alliant la matérialité et la gestualité de la peinture au narratif du sujet.
Dans mes sculptures, seule compte la force brute du corps humain et c’est pourquoi je pars du modelage de l’argile dans cette relation de mon propre corps à la terre, pour donner vie et mouvement au Golem.